Le projet ALOHA, l’Académie du bien vieillir

Piloté par des experts scientifiques ALOHA, l’Académie du bien vieillir a pour objectif d’être une source d’informations et de conseils fiables en matière de prévention en santé pour mieux vieillir. Les particuliers et professionnels de santé seront amenés à mieux comprendre l’importance du système immunitaire, les conséquences du vieillissement, et les moyens de prévention en santé s’y rattachant à fin de contribuer au bien vieillir.

Il existe aujourd’hui sur Internet très peu de sources d’informations fiables et d’outils personnalisés dédiés à la santé. La plate-forme ALOHA, l’Académie du bien vieillir vise à combler ce manque dans le domaine du bien vieillir pour les 50 ans et plus.

 

Acting for LOngevity and Healthy Ageing

ALHOA, l’Académie du bien vieillir proposera des informations pour le grand public et un contenu spécialisé pour les professionnels de santé. Entièrement rédigé par des scientifiques et des spécialistes du domaine, la plate-forme fournira des outils d’aide à la décision pour faire les bons choix en matière de prévention sur des disciplines telles que la nutrition, la vaccination, l’activité physique, etc.

ALHOA, l’Académie du bien vieillir est née d’un appel à engagement lancé par la Commission Européenne en 2013 auprès d’une multitude d’acteurs européens – publics, privés, associations – travaillant sur le sujet « vieillissement actif et en bonne santé ». ALHOA, dont l’acronyme signifie en anglais Acting for LOngevity and Healthy Ageing, est le fruit d’un partenariat public-privé et est géré par des experts scientifiques qui ont la complète maîtrise de son contenu. La France a été choisi comme pays pilote, avec un déploiement dans d’autres pays européens dans un avenir très proche

 

Source : Aloha-academy.eu/fr/bien-vieillir/projet


Une carotte mixée qui ressemble à une carotte, une tomate elle aussi mixée mais dont les tranches sont dressées sur une assiette comme si elles venaient d’être coupées, un bœuf bourguignon également mixé qui a tout l’air d’un bourguignon… bienvenue dans le monde des plats à texture modifiée. Un travail délicat que les agents des cuisines du centre hospitalier et de l’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Éphad) du Champ-Nadot commencent à mettre en œuvre. Le but? Donner aux aliments mixés l’aspect des aliments d’origine pour rendre aux résidents l’envie de manger. « Certaines personnes ont du mal à manger parce qu’elles ont du mal à mâcher, elles sont donc parfois dénutries explique la directrice du centre hospitalier, Fatiha Zidane. Les substituts de repas sont rarement bons. L’objectif est d’avoir la même quantité de repas pour les personnes ayant besoin d’aliments mixés. » L’idée a donc été de former des cuisiniers à un nouveau genre de cuisine qui permet de reconstituer sous forme gélifiée des plats, des gâteaux… « Avec cette méthode, il n’y a pas de dénaturation du goût des aliments » continue la directrice.

Les cuisiniers travaillent des produits frais et surgelés, mixent ces aliments avec des robots qui permettent d’obtenir des mixés dont la granulométrie est proche de zéro puis reconstituent l’aliment et jouent sur l’esthétique, les couleurs, la forme. « Nous avons des moules spéciaux et des emporte-pièces pour reconstituer les aliments », détaille Cyrille Loiseau, responsable des cuisines centrales et de l’Éhpad. Par exemple, pour reconstituer une salade de tomates, nous coulons l’aliment mixé dans une plaque et, à l’emporte-pièce, nous reconstituions les tranches. Quand les aliments sont simplement mixés, les résidents ont du mal à reconnaître ce qu’ils mangent. » Dans les établissements du centre hospitalier, 170 personnes ont besoin de repas mixés. « Nous allons définir un programme pour remplacer les mixés par des plats à texture modifiée, indique Cyrille Loiseau. Nous allons commencer par les entrées. Dans le courant de l’année 2017, les trois quarts des repas seront reconstitués pour les personnes qui en ont besoin. Nous devons acquérir du matériel. Cela représente beaucoup de travail mais aussi beaucoup de plaisir. Il y a une nouvelle dynamique en cuisine. Nous participons à une meilleure prise en charge nutritionnelle. » Pour Hélène Gounaud, directrice adjointe du centre hospitalier, les repas à texture modifiée permettront aussi de travailler sur l’aspect social et psychologique : « Nous pourrons redonner une fourchette et un couteau aux personnes qui mangent mixé et qui n’avaient plus besoin que d’une cuillère. Ils mangeront comme tous les autres résidents car, parfois, les personnes qui mangent mixé s’isolent. » Formés par la société SENES, spécialisée dans la nutrition des personnes âgées et l’innovation, les cuisiniers et Stéphane Ribière, directeur du pôle formation de cette société, ont organisé un buffet de bouchées et autres tartes à texture modifiée afin de présenter cette nouvelle manière de cuisiner aux personnels ainsi qu’aux membres du conseil d’administration. Et le résultat est effectivement bluffant !

Stéphanie Payssan, l’Echo du Berry, avril-mai 16


Les super légumes secs reviennent en force en cette année 2016 ! La Fédération Nationale des Légumes Secs (FNLS) démontrent « qu’ils nous veulent du bien » dans son dernier dossier de presse signé « Les supers légumes secs ».

C’est un sujet au cœur de l’actualité puisque 2016 a été élu « Année des légumineuses » par la 78ème assemblée générale des Nations Unies. Le but de cette dernière est de sensibiliser l’opinion publique sur leurs avantages nutritionnels mais pas que ! Les légumineuses ont des supers pouvoirs dans différents domaines :

  • Agriculture : les légumineuses fixent l’azote et font de la rétention d’eau pour un meilleur rendement.
  • Environnement : parmi toutes les sources de protéines, ce sont celles qui ont le moins d’impact (moins de terres cultivées, d’eau et d’énergie nécessaires et peu de production de gaz à effet de serre).
  • Cuisine : délicieusement tendance, les cuisiniers en font les reines de nos assiettes.
  • Nutrition-Santé : riches en fibres et protéines, elles sont aussi sources de vitamines et de minéraux tout en limitant l’apport de lipides et d’acides gras saturés.
  • Innovation : idéales pour améliorer la qualité des produits, les légumineuses ont des propriétés fonctionnelles intéressantes comme la texturisation, l’amélioration de la conservation et de la stabilisation.

Les légumes secs sont en plus sans gluten pour la plupart et amis de notre porte-monnaie … On les invite donc volontiers à notre table !

Les protéines végétales sont également présentes en tant qu’ingrédient dans de multiples applications :

  • Les produits céréaliers et de Boulangerie, Viennoiserie, Pâtisserie (BVP)
  • La charcuterie et produits à base de viandes, volailles et poissons
  • Les plats préparés et les sauces
  • Les Denrées Alimentaires destinés à des Alimentations Particulières (DADAP)

Selon le Groupement d’Étude et de promotion des Protéines Végétales (GEPV), 93 % des Français pensent que les protéines végétales sont bonnes pour la santé et 25 % ont l’intention de consommer plus régulièrement ce type de produits. De quoi prédire un avenir prometteur aux légumes secs !

Certaines entreprises comme Sabarot en profitent pour lancer de nouvelles gammes innovantes à base de mélanges de légumineuses et de céréales comme la box blé, riz, lentilles, lin.

Soja, pois, lentilles, féveroles, blé, pois chiches, haricots, fèves… Légumineuses ou céréales… Des super-héros à ne pas oublier dans nos assiettes !

Source : Culture Nutrition


Le professeur Henri Joyeux a vanté les vertus thérapeutiques du chocolat et l’a recommandé dans les maisons de retraite pour assurer le bien-être des résidents. […]

Le chocolat est un antidépresseur

Lorsque le chocolat est noir et composé à 70 % de cacao, il serait un excellent antidépresseur. D’après le professeur, il peut aider les personnes qui ont subi une chimiothérapie à mieux supporter les substances chimiques injectées. Cette friandise contiendrait des molécules extraordinaires qui aideraient l’organisme à mieux réagir aux traitements lourds.

Une prescription simple pour bénéficier de nombreux bienfaits

Le professeur Henri Joyeux recommande de consommer un carré de chocolat matin et soir, tous les jours. Il ne faut pas le croquer, il doit fondre lentement entre la gencive et la joue. Ce doux médicament serait excellent pour le cœur. Avec sa faible teneur en sodium, le chocolat fait également baisser la tension artérielle.

Comme les maladies cardio-vasculaires sont courantes chez les personnes âgées, le spécialiste préconise sa distribution quotidienne dans les maisons de retraite, le matin et le soir. Comme le taux de caféine contenu dans cette friandise est plus élevé que celui du café, le senior se réveille bien le matin.

Le soir, la sérotonine du chocolat permet d’avoir un sommeil paisible. La sérotonine est une substance biochimique aminée qui est véhiculée par les plaquettes du sang : elle joue un rôle dans l’hypertension artérielle et les manifestations allergiques.

Source : Retraite.com


Alors que les députés l’avaient voté à l’unanimité, le texte visant à proposer 40 % d’alimentation durable, dont 20 % de produits biologiques dans les cantines en 2020, n’a pas été voté par les Sénateurs. La Fondation Nicolas Hulot dénonce « un manque de vision et de courage politique »

Le Grenelle de l’environnement recommandaient l’introduction de 20 % de produits bio en restauration collective publique. La circulaire du 2 mai 2008 relative à l’exemplarité de l’État en matière d’utilisation de produits issus de l’agriculture biologique dans la restauration collective fixait comme objectif, pour l’année 2010, « [l’introduction de] 15 % de denrées issues de l’agriculture biologique dans les menus et d’atteindre 20 % en 2012 », pour les établissements de restaurations collective d’État. Quatre ans après échéance, les résultats sur l’ensemble des établissements restent bien plus modestes : moins de 5 % d’aliments biologiques sont consommés dans toutes les cantines de France. Si, selon l’Agence bio, en 2014, 59 % des cantines scolaires servent du bio dans leurs menus, ces chiffres révèlent des situations bien différentes. Certains établissements proposent des menus 100 % et d’autres n’affichent qu’un unique produit bio dans l’ensemble de leurs menus. Au final, la part de la bio en restauration collective ne représente que 2,7 % des produits consommés.

La loi proposée par la députée écologiste Brigitte Allain favorisant l’ancrage territoriale de l’alimentation proposée en restauration scolaire avec l’introduction de 40 % d’alimentation durable, dont 20 % de produits d’origine biologique avait été adoptée à l’unanimité en janvier dernier à l’Assemblée nationale. Le vote au Sénat n’a pu avoir lieu, ce jeudi 10 mars, en raison de la multiplication des interventions des opposants au projet, notamment Républicains. Cela conduit à reporter cette loi.

« Les sénateurs ont fait preuve d’un manque de vision et de courage politique, alors même qu’une meilleure alimentation est plébiscitée par les consommateurs et que la France continue de s’embourber dans ses objectifs de réduction des pesticides », dénonce la Fondation Nicolas Hulot.

Ironie du sort : ce refus des sénateurs intervient au lendemain de la publication par le ministère de l’Agriculture de chiffres montrant une nouvelle progression de l’utilisation des produits phytosanitaires dans l’agriculture en France : +9,4 % de 2013 à 2014, après une hausse de 9 % l’année précédente.signature

Source : EDP Nutrition – 11.03.16


La dénutrition est un problème majeur pour les personnes atteintes de démence. En effet, 20 à 45 % des personnes avec ces pathologies perdent du poids à cause de la dénutrition, entraînant des faiblesses physiques.

Ode est une horloge qui diffuse dans la pièce des senteurs alimentaires à des heures bien précises afin de stimuler l’appétit des personnes environnantes. Destinée aux structures de soins prenant en charge des personnes atteintes de démence, l’objectif est également de réduire l’isolation sociale des adultes en créant une émulation et des échanges avant et pendant les repas. Cette horloge peut également être utilisée chez des patients à domicile.

Concoctée par des aromaticiens et des parfumeurs, Ode a été créée pour libérer 3 sortes de senteurs en fonction des repas : une pour le petit-déjeuner, une pour le déjeuner et une autre pour le dîner. 2 menus sont actuellement proposés en fonction des goûts de chacun : jus de fruit pressé, curry maison, tarte à la cerise ou jus de pamplemousse, bœuf au paprika et aux légumes et forêt noire.

Après 11 semaines d’utilisation, un test sur 50 patients a révélé que plus de la moitié ont gagné 2 kg. Ode peut donc être une réelle solution pour les problèmes de dénutrition touchant les personnes atteintes de démence mais également les personnes âgées.

Source: Culture Nutrition


Nous connaissons aujourd’hui très bien les effets positifs des omégas 3, des vitamines et minéraux sur notre santé. Seulement, nous connaissions moins bien leur influence sur notre comportement.
Dans le cadre d’une étude comportementale visant à réduire l’agressivité des prisonniers, le ministère de la justice hollandaise s’apprête à collaborer avec le système carcéral en mettant en place l’expérience de la supplémentation alimentaire en omégas 3, vitamines et minéraux.
Cette recherche est une reproduction partielle de l’étude menée en 2010 par Zaalberg, avec 200 jeunes prisonniers adultes volontaires recevant quotidiennement, pour l’un des groupes des compléments alimentaires, pour l’autre un placebo.

Ces études ont montré de manière spectaculaire l’impact d’un changement d’alimentation sur le comportement agressif des jeunes prisonniers.
La supplémentation en vitamines, en minéraux, en acides gras omégas 3 et omégas 6 étaient associée à une réduction de 34 % des incidents violents rapportés par le personnel alors que durant cette période, une augmentation de 14 % des incidents étaient rapportée dans le groupe ayant pris un placebo.
Selon Zalberg, l’objectif sur le long terme est de prolonger l’expérience à d’autres groupes de population et notamment les écoles des quartiers sensibles.
Une suggestion dont la pertinence est déjà éprouvée dans un lycée américain du Wisconsin qui a complètement changé la nature des repas servis aux élèves. Au menu, des céréales complètes, des fruits et légumes, le tout préparé sur place sans colorants, ni conservateurs, ni fritures, ni sodas. Résultat : les jeunes sont moins indisciplinés, plus concentrés, et affichent de meilleurs résultats scolaires.
La prochaine étape : des compléments alimentaires ou un régime anti-agressivité ?

Source : Nutrikeo


Le Laboratoire CARRARE spécialisé dans les micro-organismes élargit de nouveau sa gamme avec le produit BIOPROTUS® Buccal, l’un des premier complément alimentaire adapté au soutien de la flore buccale.
Et si l’on vous disait que dans 70 % des cas les bactéries sont responsables de la mauvaise haleine, que près de 100 % des adultes ont des caries et qu’1 milligramme de plaque dentaire abrite 1 000 millions de microorganismes* ?
Les promesses du produit ont donc été étudiées pour répondre aux besoins sanitaires de la population en matière d’hygiène bucco-dentaire. La formulation du BIOPROTUS® Buccal associe 4 souches de probiotiques avec du xylitol et du calcium ayant chacun des propriétés différentes mais complémentaires :
– les probiotiques vont participer à l’équilibre de la flore buccale en luttant contre les micro-organismes pathogènes et en diminuant les inflammations locales
– le xylitol renforce l’action des probiotiques en limitant la plaque dentaire et l’adhésion des bactéries cariogènes
– le calcium intervient dans la re-minéralisation et la rigidité des dents
Ce complément alimentaire se trouve en boîte de 14 sticks à raison d’une prise quotidienne en fin de repas pour un programme de 14 jours.

Le laboratoire CARRARE montre qu’il est toujours possible d’innover avec des probiotiques, en dépit des déboires réglementaires dont ces derniers sont victimes.

* Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire

source : Nutrikeo

Saint-Genix

Ahhh… quoi de mieux qu’un dessert pour dynamiser notre cerveau. Le petit dessert sucré qui réveille les bons souvenirs et stimule aussi bien les papilles que les yeux par sa mise en valeur gourmande.

Sciences culinaires

Une brioche garnie de pralines rouges, spécialité de Saint-Genix-sur-Guiers, rien de tel pour se sentir en Savoie. La brioche peut être un peu difficile à mâcher… et ne parlons pas des pralines! Une déstructuration/restructuration s’impose donc. La brioche, mixée avec du lait, retrouve son côté aérien grâce à l’incorporation de blancs d’œufs. Les pralines sont mixées avec un peu d’eau puis liées. La texture n’ayant plus de mystère, penchons-nous sur les saveurs développées par ce plat. La brioche, d’abord: c’est une pâte levée à base de farine, beurre, lait et oeufs. Quel agent levant utiliser? S’il est courant aujourd’hui de fabriquer les brioches à la levure de boulanger (Saccharomyces cerevisiae), le «vrai» Saint Génix est fait d’une pâte au levain, culture symbiotique de bactéries lactiques et de levures, qui lui confère une saveur et une acidité particulières dues aux composés dégagés lors de la fermentation lactique. Les autres produits de la réaction sont, comme pour la fermentation alcoolique, les CO2 (qui fait gonfler la pâte) et l’alcool (qui disparait en s’évaporant à la cuisson).

Les pralines, ensuite: il s’agit d’amandes enveloppées de sucre cuit généralement coloré en rouge; le colorant n’apportant aucune saveur particulière, le goût des pralines est celui des amandes cuites et du sucre légèrement caramélisé.

Enfin, cette recette part d’un Saint Génix, mais vous pourrez parfaitement la réaliser à partir d’une brioche «classique» et de pralines; veillez seulement à ajouter éventuellement un peu d’eau de fleurs d’oranger si la brioche n’en contenait pas déjà, car le Saint Génix en contient traditionnellement. Vous n’avez pas non plus de pralines sous la main? Dans une casserole à fond épais, chauffer des amandes avec de l’eau et du sucre (environ 100g de chaque pour une quarantaine d’amandes) et éventuellement deux gouttes de colorant rouge, remuer de temps en temps et retirer la casserole du feu avant caramélisation; mélanger alors vivement hors du feu pour que le sucre cristallise autour des amandes en refroidissant, vous pouvez éventuellement ajouter un peu de sucre glace pour favoriser la cristallisation… et le tour est joué!

VALEUR NUTRITIONNELLE pour 1 portion

  • 766 Kcal
  • 4734 Kjoules
  • Protides 17,8
  • Lipides 48
  • Glucides 65,7

Progression technique

Couper en morceaux le St Genix (Retirer les grosses pralines en amont) Faire chauffer les pralines à feu doux avec le lait. Passer au chinois. Lier avec le Malto Dextrine à hauteur de 2,5 %. Mettre le St Genix coupé en morceaux dans un BLIXER ; ajouter la préparation à base de lait. Mixer le tout pendant une minute : Ajouter le liant à froid et mixer en s’aidant de la touche « impulse ». Monter les blancs en neige et les serrer au sucre. Débarrasser dans une calotte la brioche mixée. Incorporer délicatement les blancs à l’appareil. Mettre 45 gr d’appareil dans un godet légèrement graissé, couler une fi ne couche de praline et remettre sur le dessus 45 gr de la préparation. Mettre les godets au réfrigérateur ½ heure ou passer en cellule de refroidissement. Mettre la gelée de praline dans un cornet et confectionner des petites boules (forme praline). Les faire prendre en cellule et les disposer sur les briochines. Démouler et dresser sur assiette harmonieusement.

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